Antipathie, brouille de famille, divorce, solitude, frustration, tristesse, déception, découragé, affolé, désorienté… (© Gleb Semenjuk - Fotolia.com)
Cependant, des sites de rencontres se sont constituées pour rapprocher les gens entre eux, vainement. Cet échec n’engage en rien la responsabilité des agences de rencontres, le système de leur entreprise est irréprochable. C’est le meilleur, quelque chose d’essentiel qui manque pour élever l’amitié, c’est cette défaillance qui provoque la rareté et l’insuccès en amitié, en couple ou en famille. D'ailleurs, Jean-Claude Kaufmann, nous explique : “Les sites de rencontres rendent l'amour encore plus improbable”
La cause véritable vient de la plupart des hommes et des femmes qui vivent d’une manière tumultueuse, anarchique et à sens unique, sans dignité, sans estime d’eux-mêmes ou sans code de conduite réciproque. Ils n’ont ni personnalité vraie, ni indulgence, ni loyauté, ni convention. C’est la peur de l’autre, le doute, la méfiance qui règnent, c’est chacun pour soi, chacun de son côté défie l’autre sans faire de concession. Alors que le plus beau cadeau de l’esprit est de savoir faire la plus belle des concessions : une donation, une faveur, un accord, une bienveillance — c’est à celui qui saura se faire le plus grand bonheur en sachant transmettre le bonheur à l’autre. Ce sont tous ces petits présents de l’esprit, tous ces petits moments de bonheur quotidien qui manquent. Même fortunés, les gens sont pauvres, malheureux et désemparés. L’amour est la richesse suprême, le meilleur d’eux-mêmes est absent et la fortune est impuissante.
Le plus grand malheur de l’amitié, c’est l’ignorance, l’ignorance de son absence intérieure, de son identité biologique dissimulée et abandonnée par la présence des choses extérieures qui décident à sa place. Perturbées par la force irrésistible des passions matérielles, ces nécessités du deuxième genre dominent nos nécessités du premier genre qui s’effacent, et tout le monde est perdant. Ainsi, la solitude mentale est souvent masquée par une présence physique (personne ou animal de compagnie), par des passions sectaires, financières et matérielles ou par l’alcool, le tabac, etc. C’est cela qui fabrique l'amnésie, l’abandon ou l’absence de soi. Le pire pour l’amitié est de tomber totalement dans la solitude mentale et physique absolue. Le malheur en amitié est de ne pas savoir que nous avons perdu nos repères biologiques, désappris ce que nous avons de plus cher et de plus précieux en nous : l’« AMOUR ». D’ailleurs, beaucoup confondent l’amour et la sexualité. Avec une telle déviation de l’esprit personne ne peut favoriser ni construire la confiance tranquille, heureuse et réciproque ni rencontrer quelqu’un de vrai. Toutes ces tendances et ces comportements individuels sont automatiquement réglés sur l’oubli ou le désapprentissage des repères intrabiologiques de la personne humaine : taire, calomnier ou mystifier l’amour.
Copyright 2005. Nicolas Jean-Antoine Sénia. Soyaux – France.
La cause véritable vient de la plupart des hommes et des femmes qui vivent d’une manière tumultueuse, anarchique et à sens unique, sans dignité, sans estime d’eux-mêmes ou sans code de conduite réciproque. Ils n’ont ni personnalité vraie, ni indulgence, ni loyauté, ni convention. C’est la peur de l’autre, le doute, la méfiance qui règnent, c’est chacun pour soi, chacun de son côté défie l’autre sans faire de concession. Alors que le plus beau cadeau de l’esprit est de savoir faire la plus belle des concessions : une donation, une faveur, un accord, une bienveillance — c’est à celui qui saura se faire le plus grand bonheur en sachant transmettre le bonheur à l’autre. Ce sont tous ces petits présents de l’esprit, tous ces petits moments de bonheur quotidien qui manquent. Même fortunés, les gens sont pauvres, malheureux et désemparés. L’amour est la richesse suprême, le meilleur d’eux-mêmes est absent et la fortune est impuissante.
Le plus grand malheur de l’amitié, c’est l’ignorance, l’ignorance de son absence intérieure, de son identité biologique dissimulée et abandonnée par la présence des choses extérieures qui décident à sa place. Perturbées par la force irrésistible des passions matérielles, ces nécessités du deuxième genre dominent nos nécessités du premier genre qui s’effacent, et tout le monde est perdant. Ainsi, la solitude mentale est souvent masquée par une présence physique (personne ou animal de compagnie), par des passions sectaires, financières et matérielles ou par l’alcool, le tabac, etc. C’est cela qui fabrique l'amnésie, l’abandon ou l’absence de soi. Le pire pour l’amitié est de tomber totalement dans la solitude mentale et physique absolue. Le malheur en amitié est de ne pas savoir que nous avons perdu nos repères biologiques, désappris ce que nous avons de plus cher et de plus précieux en nous : l’« AMOUR ». D’ailleurs, beaucoup confondent l’amour et la sexualité. Avec une telle déviation de l’esprit personne ne peut favoriser ni construire la confiance tranquille, heureuse et réciproque ni rencontrer quelqu’un de vrai. Toutes ces tendances et ces comportements individuels sont automatiquement réglés sur l’oubli ou le désapprentissage des repères intrabiologiques de la personne humaine : taire, calomnier ou mystifier l’amour.
Copyright 2005. Nicolas Jean-Antoine Sénia. Soyaux – France.