Cessez d'être dépendant de l'imagination : « Le racisme n’existe pas. »
Invention de l’esprit néoprimitif qui ne peut se réaliser sans l’action de la dépendance imaginaire.
RACE, RACISME ET MANIPULATION MENTALE
L’homme est une race unique, il est le représentant de l’espèce humaine. Le racisme n'existe pas, nous sommes tous des humains. Quand tout le monde finira par saisir la supercherie, que le racisme n’existe pas, qu’il n’a jamais existé et que l’esprit qui entretient cette opinion populaire toute faite sont les sectes et leurs adeptes, tout le monde se comprendra sans se sentir offensé. Ainsi, d’une manière générale les gens confondent raciste avec misanthrope et ségrégation : la haine moderne contre le genre humain c’est le barbarisme, le néoprimitivisme, qui ne fait pousser aucune greffe culturelle liée à la conscience de l’amour biologique © . Les traits de comportement du misanthrope : « Les terreurs, les fuites, les misanthropies sauvages et rêveuses de bien des modernes. » (Charles-Augustin Sainte-Beuve).
Il n’existe pas « DES » races d’hommes, il y a seulement « DES » hommes de couleur noire, jaune, rouge, blanche et qui appartiennent à la même espèce humaine : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits » (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen). Par contre, ce qui existe c’est la haine, ce sont ces inhumains, ces misanthropes, tous ceux qui n’aiment pas le genre humain, tous ces malades mentaux préfabriqués, que je nomme des « NÉOPRIMITIFS ». Ils ne valent pas mieux que ceux contre qui ils se défendent puisqu’ils sont aussi haineux qu’eux ; c’est une guerre interactive de malades mentaux préfabriqués, qui luttent vainement les uns contre les autres sans se rendre compte qu’ils sont des adversaires fantômes ou imaginaires.
Un néoprimitif est un nouvel homme primitif du monde moderne, un esprit sectaire qui soutient le monde des sectes, lequel maintient l’idée du racisme, cette haine qui divise l’interhumanité. Ils sont opposés par un dilemme, d’un côté, il y a la difficulté que pose le primitif par le contraste avec la vie extérieure : le progrès matérialiste ; de l’autre côté, il y a la complication que pose le néoprimitif par la rupture avec la vie intérieure : l’évolution biologique. Heureusement, il y a l’homme aux qualités humaines, celui dont on dit : « C’est un homme bien, c’est un homme vrai, c’est un homme conciliant à l’état biologique et naturel ou tout simplement c’est un homme sensé et sage, celui-ci est le représentant de l’espèce humaine. »
De surcroît, sachez que le racisme n’existe pas parce qu’à la fin du XIXe siècle Gaston Méry inventait (un nouveau mot de haine) le mot « racisme » dans son roman, un pamphlet : « Jean Révolte ». Le racisme n’existe pas, c’est l’invention d’un l’esprit néoprimitif, d’une croyance qui n’a pu se propager sans l’intervention de la dépendance de l’imagination qui s’inspire de la haine, nourrit l’ignorance et la mauvaise conscience contre la société interhumaine.
Non, il ne faut pas encourager le mot « racisme » qui n’existe pas, en parler c’est le répandre, le soutenir ou lui donner raison, c’est publier la haine à tout vent. Il faut surtout accuser d’« INHUMAIN » la dépendance de l’imagination, cette imagination de secte qui construit l’esprit néoprimitif qui est un malade mental préfabriqué, un misanthrope qui n’aime pas le genre humain. Il faut stopper ce mouvement fratricide, ces mentalités invalides qui ont la tendance ou le comportement d’organiser le crime contre l’humanité.
Le spectre du racisme est une pensée fixe qui dépend de l’imagination, c’est une guerre idéologique, politique, religieuse ou sectaire, un esprit néoprimitif. C’est le moyen extrême qui permet aux intégristes par la terreur, l’intimidation et le chantage pour faire admettre par la violence morale ou physique une volonté sectaire ou pour s’approprier le bien d’autrui. Par le biais de l’idéalisme la dépendance de l’imagination a fait et continu encore à faire beaucoup de tort aux hommes, puisque l’idée fantôme du racisme favorise plus l’idéologie que l’homme. C’est la raison pour laquelle les politiques, les religions ou les sectes sont épargnées et les hommes sont inquiétés. Le racisme dépend de l’imagination, il est le spectre de la guerre idéologique.
On peut accepter et apprécier le sens des idéologies utiles à condition qu’elles soient régentées par l’amour, le soi, et refuser ou se défendre contre les idéologies nuisibles dirigées par la dépendance de l’imagination. Autrement dit, il faut arrêter la chaîne du système philosophique et psychologique néfaste, qui dépend de l’imagination et qui n’appartient pas à l’essence humaine, laquelle bannit toutes ces causes fictives. Les seules idéologies heureuses et profitables pour tous sont conduites par l'amour biologique© intrinsèque au genre humain, pour lequel le racisme n’a aucune base biologique.
Et vous qu'en pensez vous ? Discutez-en sur le forum !;
Copyright 2005. Nicolas Jean-Antoine Sénia. Soyaux – France.
RACE, RACISME ET MANIPULATION MENTALE
L’homme est une race unique, il est le représentant de l’espèce humaine. Le racisme n'existe pas, nous sommes tous des humains. Quand tout le monde finira par saisir la supercherie, que le racisme n’existe pas, qu’il n’a jamais existé et que l’esprit qui entretient cette opinion populaire toute faite sont les sectes et leurs adeptes, tout le monde se comprendra sans se sentir offensé. Ainsi, d’une manière générale les gens confondent raciste avec misanthrope et ségrégation : la haine moderne contre le genre humain c’est le barbarisme, le néoprimitivisme, qui ne fait pousser aucune greffe culturelle liée à la conscience de l’amour biologique © . Les traits de comportement du misanthrope : « Les terreurs, les fuites, les misanthropies sauvages et rêveuses de bien des modernes. » (Charles-Augustin Sainte-Beuve).
Il n’existe pas « DES » races d’hommes, il y a seulement « DES » hommes de couleur noire, jaune, rouge, blanche et qui appartiennent à la même espèce humaine : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits » (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen). Par contre, ce qui existe c’est la haine, ce sont ces inhumains, ces misanthropes, tous ceux qui n’aiment pas le genre humain, tous ces malades mentaux préfabriqués, que je nomme des « NÉOPRIMITIFS ». Ils ne valent pas mieux que ceux contre qui ils se défendent puisqu’ils sont aussi haineux qu’eux ; c’est une guerre interactive de malades mentaux préfabriqués, qui luttent vainement les uns contre les autres sans se rendre compte qu’ils sont des adversaires fantômes ou imaginaires.
Un néoprimitif est un nouvel homme primitif du monde moderne, un esprit sectaire qui soutient le monde des sectes, lequel maintient l’idée du racisme, cette haine qui divise l’interhumanité. Ils sont opposés par un dilemme, d’un côté, il y a la difficulté que pose le primitif par le contraste avec la vie extérieure : le progrès matérialiste ; de l’autre côté, il y a la complication que pose le néoprimitif par la rupture avec la vie intérieure : l’évolution biologique. Heureusement, il y a l’homme aux qualités humaines, celui dont on dit : « C’est un homme bien, c’est un homme vrai, c’est un homme conciliant à l’état biologique et naturel ou tout simplement c’est un homme sensé et sage, celui-ci est le représentant de l’espèce humaine. »
De surcroît, sachez que le racisme n’existe pas parce qu’à la fin du XIXe siècle Gaston Méry inventait (un nouveau mot de haine) le mot « racisme » dans son roman, un pamphlet : « Jean Révolte ». Le racisme n’existe pas, c’est l’invention d’un l’esprit néoprimitif, d’une croyance qui n’a pu se propager sans l’intervention de la dépendance de l’imagination qui s’inspire de la haine, nourrit l’ignorance et la mauvaise conscience contre la société interhumaine.
Non, il ne faut pas encourager le mot « racisme » qui n’existe pas, en parler c’est le répandre, le soutenir ou lui donner raison, c’est publier la haine à tout vent. Il faut surtout accuser d’« INHUMAIN » la dépendance de l’imagination, cette imagination de secte qui construit l’esprit néoprimitif qui est un malade mental préfabriqué, un misanthrope qui n’aime pas le genre humain. Il faut stopper ce mouvement fratricide, ces mentalités invalides qui ont la tendance ou le comportement d’organiser le crime contre l’humanité.
Le spectre du racisme est une pensée fixe qui dépend de l’imagination, c’est une guerre idéologique, politique, religieuse ou sectaire, un esprit néoprimitif. C’est le moyen extrême qui permet aux intégristes par la terreur, l’intimidation et le chantage pour faire admettre par la violence morale ou physique une volonté sectaire ou pour s’approprier le bien d’autrui. Par le biais de l’idéalisme la dépendance de l’imagination a fait et continu encore à faire beaucoup de tort aux hommes, puisque l’idée fantôme du racisme favorise plus l’idéologie que l’homme. C’est la raison pour laquelle les politiques, les religions ou les sectes sont épargnées et les hommes sont inquiétés. Le racisme dépend de l’imagination, il est le spectre de la guerre idéologique.
On peut accepter et apprécier le sens des idéologies utiles à condition qu’elles soient régentées par l’amour, le soi, et refuser ou se défendre contre les idéologies nuisibles dirigées par la dépendance de l’imagination. Autrement dit, il faut arrêter la chaîne du système philosophique et psychologique néfaste, qui dépend de l’imagination et qui n’appartient pas à l’essence humaine, laquelle bannit toutes ces causes fictives. Les seules idéologies heureuses et profitables pour tous sont conduites par l'amour biologique© intrinsèque au genre humain, pour lequel le racisme n’a aucune base biologique.
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Copyright 2005. Nicolas Jean-Antoine Sénia. Soyaux – France.