CE QUE L’ON VOIT ET QUE L’ON SUBIT, À NOTRE INSU :
Nous souffrons de la dépendance néoprimitive, laquelle provoque la manifestation du monde des sectes, ainsi que l’abolition de l’amitié et de la famille.
Dans la société — des sectes — organisée où nous vivons, pour fonctionner, nous sommes contraint de nous sacrifier, de suivre la majorité des crédules qui fatalement vont au génocide ; nous n’avons qu’un seul et unique moyen : s’« OUBLIER SOI-MÊME », puis obéir aveuglément — à notre insu —, s’abandonner sans état d’âme à la philosophie et à la psychologie néoprimitive ; d’où sont distillées les bonnes paroles des sages, la morale des maîtres de l’esprit et des finances, des gourous médiatiques, politiques et religieux, afin que l’on puisse se comporter de manière impersonnelle comme si l’on agissait naturellement de soi-même. Pour mieux régner et nous dominer, le néoprimitivisme entretient l’anarchie, favorise d’un côté le divorce hétérosexuel et approuve de l’autre côté l’union homosexuelle, provoquant ainsi la dispersion des foyers et des enfants ; de plus il nous corrompt pour mieux nous culpabiliser et nous obliger à nous taire, ainsi le néoprimitiviste élabore — la cause fictive — le crime parfait et peut agir en toute impunité.
CE QUE L’ON NE VOIT PAS ET QUE L’ON POSSÈDE, À NOTRE INSU :
Le pouvoir d’abolir la mentalité néoprimitive afin de reconquérir tous nos souvenirs oubliés, l’amour de soi, tous nos repères biologiques, l’Amitié Authentique, la racine de la famille, l’indépendance individuelle, la prospérité interhumaine.
Dans le monde naturel, pour fonctionner, il n’y a aussi qu’un seul et unique moyen, celui de prendre conscience de l’estime de soi, en écoutant l’amour de soi, notre souveraineté. Ainsi, qui est privé de l’amour de soi, son instinct de protection ou immunité biologique, ne peut trouver ses repères ni son orientation, ni s'élever pour devenir fort et lutter dans la vie naturelle, personnelle, privée, sociale, professionnelle. Donc, l’amour de soi est capital, puisqu’il est notre guide personnel et ne nous trompe jamais, il détient tous nos « repères d’orientation ». Cependant, il y a aussi des gens faibles qui ont des repères mais ils ne s’exercent pas, ne s’endurcissent pas, ne se forment pas ou d’autres encore qui ne peuvent s’entraîner pour la lutte dans la vie, parce qu’ils n’ont point de repères biologiques, l’amour de soi est absent.
Généralement, la plupart des gens ignorent que nous avons deux mémoires, l’une le sentiment ou la mémoire innée, l’autre l’imagination ou la mémoire acquise. Ces mêmes personnes se méconnaissent et de surcroît elles mésestiment leur propre — immunité — intelligence biologique, laquelle n’occupe qu’une partie de leurs connaissances, soit la mémoire des sentiments, l’outil sensoriel, ou la mémoire des imaginations, l’outil conceptuel. De ce fait, l’intelligence est limitée d’un côté par l’intelligence primitive ou de l’autre côté par l’intelligence néoprimitive. Seul l’intellectuel est capable de fonctionner avec ses deux outils et de paraître exceptionnel, puisqu’il ne travaille pas sans sa totale intelligence, il y associe l’amour de soi, lequel régente et gouverne ses intuitions et ses idées ; alors que le primitif et le néoprimitif s’efforcent vainement de ne fonctionner qu’avec une partie de l’intelligence.
Nicolas Jean-Antoine Sénia
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