Avec des amies et amis vrais tout le monde est gagnant
Le site Le Cercle des Amies et Amis Authentiques s’est donné pour objectif d’offrir gratuitement toutes les informations de son contenu afin de reconstruire les ressources mentales de l’« amour biologique© » oublié. Ce site n’est pas un site de rencontres mais un outil informatif au service des hommes et des femmes qui ont la volonté innée commune de fonder une Amitié Authentique© ou une vie de couple durable. - « L'amour n'a pas de sexe » - Dans l’organisation des sociétés humaines, Théodore Monod, cet homme sage évolué a dit : « On a tout essayé sauf l'amour » - « L’objectif du site Le Cercle des Amies et Amis Authentiques est de trouver et de regrouper des hommes sages évolués, des hommes et des femmes Authentiques, afin de ne pas lutter vainement contre le monde des sectes qui impose sa volonté artificielle absolue au monde biologique et naturel » (© Nicolas Jean-Antoine Sénia). - « En règle générale, dans la vie humaine il y a deux orientations possibles, d'un côté l'amour, de l'autre côté la haine. Quiconque refuse l'accès du chemin de l'Amour pénètre inévitablement dans la généalogie de la haine » - (© Nicolas Jean-Antoine Sénia) Ainsi : « Ce n'est pas le but qui compte, c'est le chemin. » (Valérie Guign Abodet). - « Il n'est rien à faire sans amour » (Antoine de Saint-Exupéry). - « L’amour biologique© est l’origine de l’Amitié Authentique et l’Amitié Authentique est la racine de l’homme sensé. » (© Nicolas Jean-Antoine Sénia). - Le contenu du site est libre sous réserve de mention d'un lien retour : « © Nicolas Jean-Antoine Sénia » Soyez libre de profiter gratuitement du contenu du site — ne manquez pas cette opportunité. Inscrivez-vous !




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CON :
Synonyme d’ignorant, de je-m’en-foutiste, d’indifférent, d’imbécile, de néoprimitif, de malade mental préfabriqué et qui sert de bouc émissaire. Qui reçoit des ordres imbéciles de la dépendance imaginaire et sur lequel elle fait retomber tous les torts. Un con est un malade mental préfabriqué par la dépendance de l’imagination et qui se considère comme une personne importante. En règle générale un con c’est quelqu’un qui se pourrit la vie et qui pourrit également celle de ses semblables. Malheureusement, on trouve les cons qui, malgré eux, le sont, et les cons qui simulent.

Aussi, il y a trois genres de cons qui simulent :
Primo, il y a des gens qui font les cons par nécessité, souvent pour se protéger des cons.
Secundo, il y a ceux qui font les cons par lâcheté, pour échapper à un devoir.
Tertio, il y a aussi les cons qui combinent nécessité et lâcheté.

Autrement dit, un con est un simulateur, il n’est toutefois pas nuisible dans tous les cas. Puisqu’il y a celui qui fait le con pour se protéger des cons. Mais les plus dangereux (ou nuisibles) sont les lâches qui font les cons pour ne pas accomplir une tâche collective et profiter de tous (c’est le petit démerdard) ; et ceux qui utilisent ces deux systèmes, le moyen de se protéger et la lâcheté contre l’homme et le citoyen (pour exercer les grands moyens de la cupidité).

Il y a finalement le vrai con, celui qui ne simule pas.
Il y a le vrai con, celui qui prend les autres pour des cons sans se douter que le con c’est lui. Par exemple, agir à la manière de quelqu’un qui ne comprend pas une situation, qui débine une personne qui lui voulait du bien et qui se sentira con lorsqu’il s’apercevra qu’il n’avait rien compris : « Les vieux cons ne sont jamais que de jeunes imbéciles qui ne se sont pas améliorés avec le temps » (Jean Amadou).

Un véritable con n’a pas de parole, c’est un falsificateur, un mauvais joueur, qui abuse les autres en ne se conformant pas aux valeurs établies, aux usages réciproques de la loyauté. Ainsi, celui qui sait ce qu’il fait en feignant l’ignorance est un con, un malhonnête. Le tricheur a l’objectif de calculer pour mentir de manière consciente et cherche par mauvaise foi à éviter habilement une attaque ou l’obstacle une fois pris en flagrant délit ; en répliquant aussitôt : mais ne vous fâchez pas, ne le prenez pas sur ce ton, je plaisantais, ne prenez pas ce que j’ai dit au premier degré (il emploie toutes les ruses du fuyant, du lâche, du cupide, du voleur… du malade mental préfabriqué). Moralité : « Tant que la victime ne se doute de rien, le mensonge passe pour une vérité ; à l’inverse, quand cette même victime se défend, l’hypocrite prétend qu’il ne l’avait pas fait volontairement. »

Bien entendu, la définition qui caractérise le con dans son comportement fabriqué n’est pas limitée au mode d’explication qui vient d’être décrit.

Cette attitude du con qui simule est très convoitée et encouragée par la médiatisation publicitaire (pédagogie capitaliste), les annonces passent de manière anodine ou sous la forme de l’humour qui dépend de l’imagination comme s’il s’agissait d’un état naturel. Ainsi le comique contrefait est une mode de con, elle donne l’impression de casser l’austérité du sérieux, mais sans laisser apercevoir qu’elle cède la place à l’imbécillité ; en prenant l’habitude d’être con en riant, on finit par être con sérieusement, sans s’en rendre compte : « La première fois, quand on commet une gaffe, on comprend qu'il s'agit d'une erreur, la deuxième fois, si l’on recommence c'est que l’on est un con. » (Michaël Sénia). Voilà comment en utilisant l’humour de manière bénigne et imbécile on éduque la masse à devenir con ou malade mental préfabriqué, à son insu.

C’est bien sous cette forme particulière que revêt l’accomplissement de l’habitude, que l’on a fait à force de répéter ces actes imbéciles pendant des décennies, que l’on a fini par construire un héritage héréditaire de la maladie mentale préfabriquée. Ainsi, contrairement à ce que l’on peut croire, l’homme moderne n’a jamais évolué jusqu’à nous de manière biologique, sa mutation s’est prolongée de façon idéologique, laquelle a provoqué la manifestation du matérialisme, d’où est né le néoprimitif. Or, au XXIe siècle notre société dite « civilisée » est toujours dans un état d’esprit primitif, où seul le développement de l’apparence matérialiste dissimule en vain cet esprit archaïsant qui dépend de l’imagination sans que nul ne s’en doute et qui n’a pas bougé depuis le début de l’âge primaire.


CONCLUSION

Qui n’a pas été con dans sa vie ? Personne ne peut le nier, nous avons tous été plus ou moins cons dans notre vie. Être con ou ne pas être con, dans les deux cas c’est une question d’éducation mentale, on apprend à être con comme on désapprend à être con. Un con va même jusqu’à préférer sa vanité, son mensonge et perdre son naturel, sa sincérité. Pour se considérer comme plus important, supérieur à tout et aux autres, en écoutant et en soutenant les conneries de son orgueil pathologique qui l’irrite avec un comportement d’hystérie, de défense théâtrale quand il est contrarié dans ses insanités, sa maladie mentale préfabriquée. Être con, c’est l’état d’une personne qui a un souci de compréhension, manque de perspicacité, ne voit que les aspects partiels, sans chercher au-delà, manifeste le sectarisme et se fixe dans une situation sans issue. Pour se considérer comme plus important, supérieur à tout et aux autres, un con va même jusqu’à préférer sa vanité, son mensonge et perdre son naturel, sa sincérité.

Dans la vie il n’y a pas d’âge pour être jeune, ni pour être vieux, puisque l’on peut être vieux à 20 ans ou jeune à 100 ans et inversement, c’est pourquoi il n’y a pas d’âge pour être con. Par conséquent, dans la vie il y a une période qui va stabiliser une fois pour toutes la manière d’être ; qui à son tour va déterminer le déroulement de la vie, le destin, l’existence de chacun et qui fera que l’on est jeune et heureux ou vieux et plaintif. En fait, c’est la façon de se comporter qui fait l’âge que l’on se donne et que l’on a, la faculté de « comprendre » construit l’âge de l’esprit jeune, la « connerie » façonne l’âge de l’esprit vieux. Il y a ceux qui vivent bien et vieillissent bien psychosomatiquement, ils se maintiennent jeunes ; de l’autre côté, il y a ceux qui vivent mal et vieillissent mal de manière somatopsychique, ils deviennent de plus en plus vieux.

En règle générale, un jeune qui est toujours tenté de faire le con et d’être con ne s’améliore pas. Mais en avançant dans l’âge adulte certains jeunes abandonnent leurs conneries, malgré leur passé ils apprennent à vivre et à bien vieillir, ils s’en sortent en se forgeant un caractère compréhensif et un esprit jeune.

De l’autre côté, il y a des adultes qui vieillissent mal, puisqu’ils ne se retirent absolument jamais de leurs conneries, ne s’améliorent à aucun moment et restent cons leur vie durant, ce sont des vieux cons (des néoprimitifs), qui emmerdent tout le monde. Ce sont ces vieux cons qui portent atteinte à l’intérêt général de la société. D’ailleurs, sans sortir du contexte, voici un exemple parmi tant d’autres de ce qui se commet actuellement dans notre société. Aujourd’hui, au XXIe siècle, les rencontres entre personnes sont de plus en plus compliquées parce qu’il y a de plus en plus d’esprits vieux cons qui ne peuvent pas s’entendre entre eux. L’autre grand malheur est de former avec une autre personne qui vit bien et vieillit bien une communauté d’intérêts, de sentiments, de travail et que tout finisse par se briser à cause d’un esprit vieux con.


Copyright 2005. Nicolas Jean-Antoine Sénia. Soyaux – France.

Voir aussi : DÉPENDANCE DE L’IMAGINATION, IMBÉCILE, MALADIE MENTALE, NÉOPRIMITIF, SCHIZOPHRÈNE



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