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Pomper à eau solaire
Le respect est synonyme de dignité réciproque
- Mercredi 15 Novembre 2017
- Techniques naturelles et écologiques
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Le compte à rebours Aujourd’hui, deuxième millénaire : 25 septembre 1995, à l’approche du troisième millénaire, le pouvoir de la symbiose humaine arrive juste à point pour certains hommes, et trop tard pour d’autres et moi-même. Nous savons tous que durant les cinquante dernières années, l'homme a fait un bond considérable dans le perfectionnement technologique, non dans le progrès biologique tel que l'humanité le croit, en l'imaginant en dépendant de l'imagination. D'ailleurs, les dégâts climatiques et interbiologiques que continue à subir notre planète Terre le prouvent. Le progrès technologique va très vite ; de loin, il est lui-même dépassé, puisqu'au moment où il est accompli, il est déjà obsolète, sa translation est quasiment instantanée. La vitesse de cette évolution prend des coups d'accélération considérables et incontrôlables. Puisque d'un côté, le cerveau humain est esclave du rêve permanent, il est dominé par la force irrésistible du faux sentiment ou de l'imagination, de l'autre côté, le progrès des cinquante dernières années se réalise de nos jours en quelques mois. Ce qui se matérialise aujourd'hui en quelques semaines demandait autrefois plusieurs années, ce qui provoque de très lourdes conséquences dans le réchauffement de la planète, le changement de l'environnement interbiologique et le comportement humain ; l'arrêt du gulf stream (VIDÉO) peut provoquer de graves conséquences. Sans expliquer l'exode des populations chassées de leur territoire par les inondations. D'autant plus que la très grande majorité de ces transformations sont des inventions impersonnelles, n'appartenant ni à l'exigence ni à la volonté de l'intelligence biologique du cerveau de l'homme sage. La survie de l'humanité est remise en question. Ces transformations n'apportent aucune évolution biologique, laquelle devrait passer en priorité dans les hiérarchies du perfectionnement naturel, ensuite, devrait venir dans l'ordre des préséances : le progrès humain. C'est justement l'opposé qui se fait : les nécessités du deuxième genre, les volontés ou les ambitions technologiques et financières, sont au pouvoir, et les nécessités du premier genre, les exigences ou les obligations biologiques, sont désapprises et oubliées. D'où l'insécurité totale, du développement durable et la crainte d'un retour irréversible qui ne garantirait plus l'avenir de nos enfants et de nos petits-enfants. Le mépris ou l'incapacité des parents irresponsables le néoprimitivisme constituent un réel danger pour l'avenir et l'existence de nos générations futures. Les progrès que l'homme a inventés impersonnellement au cours de ces derniers cinquante ans ont à eux seuls dépassé le seuil des deux mille ans d'existence que l'homme moderne (ou néoprimitif) a déjà parcouru sur la Terre. Ce demi-siècle de développement dépasse et représente proportionnellement plus de deux mille ans d'existence à lui seul. À cette vitesse, l'anticipation et la marche en avant de la dépendance de l'imagination ont déjà par elles-mêmes presque saturé l'espace et l'environnement biologique de toutes sortes de pollutions (mentale, chimique, nucléaire, matérielle, etc.) ; et, dans la plupart des cas, uniquement pour la guerre économique agissant contre l'avenir biologique, ainsi s'entretiennent la fraude, la corruption et l'argent du crime schizophrénique au profit d'un système néoprimitiviste dépendant lui-même d'un monde de secte sans s'en douter. Tout cela s'exécute sous nos yeux et, par habitude nécrologique, la dépendance de l'imagination empoisonne le milieu ambiant de la vie qui disparaît à toute vitesse, sans que personne ne s'en étonne, sans que personne ne réagisse. Si l'homme ne se réveille pas d'urgence pour activer l'abolition de la société néoprimitive, pris par l'accélération de cette force d'inertie, il ne s'échappera pas. Le sursis accordé à l'existence de la vie humaine ne dépassera pas un dixième du troisième millénaire, c'est-à-dire cent ans de plus. La cadence à laquelle le progrès technologique prend le pas sur le progrès biologique, et a avancé en moins d'un demi-siècle passé, démontre la rapidité avec laquelle des catastrophes interbiologiques et technologiques peuvent se produire en moins de cent ans à venir. À cause du néoprimitivisme, cette terrible maladie folle transmise à l'homme par la dépendance du faux sentiment et la dépendance de l'imagination qui dominent son cerveau esclave du rêve permanent. Le troisième millénaire doit être celui de l'" abolition " de la folie aveugle du néoprimitivisme, l'auteur de tous les crimes parfaits perpétrés contre l'humanité : le génocide collectif. Le millénaire de l'abolition de la guerre économique, source de fraude, de corruption, de guerre, etc. Ainsi, il deviendra possible de construire la symbiose humaine, grâce à l'amour interhumain, l'authentique régent, gouverneur et symbiose du cerveau de l'homme sage. Si l'homme ne réhabilite pas d’urgence sa dignité biologique, à courte échéance, ce sera la mort totale ou partielle de l'humanité. Il ne faut pas oublier que la symbiose est sélection naturelle, c'est elle qui gère le monde interbiologique, interhumain et sa longévité. Elle est l'intelligence de la vie, la conscience biologique. La perspective de la vie, la symbiose est l'avenir de nos enfants et de nos petits-enfants, elle est entre nos mains, n'attendons pas demain pour commencer à nous alarmer et à réagir : c'est le troisième millénaire, le 25 septembre 2095, nous saurons ce qu'il apparaîtra, l'homme survivra t-il ? Nicolas Jean-Antoine Sénia Copyright 1995 - 2005. Nicolas Jean-Antoine Sénia. Soyaux - France.
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